"Lorsque sur les marchés obligataires, les rendements réels sont négatifs, comme aujourd’hui, le métal précieux devient plus attractif. La chute de l’activité économique aux États-Unis, dont témoigne la contraction de 30 % du PIB au deuxième trimestre, a fait plonger le billet vert, qui vaut actuellement 0,85 euro, par exemple. Comme le prix de l’or est libellé en dollars, les acheteurs étrangers déboursent moins de leur monnaie nationale pour en acheter"
Les scarabées dorés tremblent
" comme le rappelle le Financial Times, la Bank of America met la barre encore plus haut : d’après elle, les tensions sino-américaines et les conséquences de la crise du Covid-19 pourraient propulser les cours jusqu’à 3 000 dollars dans les dix-huit prochains mois."